À la tombée du jour
Aux épaves , la douceur d’un ciel qui panse les plaies
Aux solitaires, la mélancolie des grands fleuves
Aux insomniaques, l’eau qui coule
Laisser là nos courbatures et nos cauchemars
Que le souci se dépose au creux du bois blanc
Laisser agir le crépuscule…
L'image est belle, le texte émouvant et vaguement nostalgique. Un beau billet...
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