J'y vais, j'y vais pas
(Bidart, 18 mars, 16h 20)
J’attends, ils attendent, les surfers dans l’eau, l’homme sur la plage. Vent du sud, une mer parfaitement lisse, une vague tous les quarts d’heure, une vague qui se fait attendre, mais parfaite, creusée par le vent d’autan. J’y vais, j’y vais pas, la vague est belle mais rare, de plus en plus rare à mesure que monte la marée. À trop hésiter, le temps passe, la marée haute absorbe ce qu’il reste de houle, l’homme sur la plage fait demi tour et les derniers surfers regagnent la plage en ramant. Je me détourne alors de la mer pour flâner sur le sable en quête de bois flottés aux formes inspirantes. Cette plage est une mine d’or en hiver. Quelques bois flottés pour fabriquer des grigris contre l’obscurantisme ambiant.
El hombre parece disfrutar de un momento de soledad elegida y ese espacio siempre es algo lleno de magia. La foto me transmite esa búsqueda consciente de paz que a veces, me llena de felicidad por representar un momento único y sobre todo, mío.
RépondreSupprimerUn abrazo