Dernier feu
(Abbaye d’Orval, 2h 35)
Dernier feu à Orval,
garden party au monastère,
la bière coule à flot,
les yeux sont humides,
on démonte, on remballe,
on garde sa mélancolie au fond des poches,
on l’emporte à la maison,
on la pose sur la table de chevet
à côté des poètes
Guillevic, Padgett, Kerouac, Jourdan,
la nuit saisit le corps fourbu,
feuillette le livre d’image,
et demain sera un autre jour
porté par les forces du théâtre.
As I said yesterday-- I wish I could have seen it. By the way, the whole reading list/favorites thing is messed up for me and many others. Outtahismind.blogspot.com to go direct. Frustrating.
RépondreSupprimerOui Pierre … Des yeux humides. Il y en a eu. J’espère que c’est pour mieux en sortir grandis.
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